"L'invention du grand écrivain" de Joseph Vebret

Joseph Vebret : Un joli collectif

Résumé

L'invention du grand écrivain
Dans les coulisses des grandes œuvres littérairesLe xixe siècle voit naître le roman tel que nous le connaissons aujourd'hui. Auparavant, il était considéré comme un art mineur, un " fourre-tout " inférieur à la poésie et au théâtre, dont la codification était jalousement défendue par les " Classiques ".
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Pour appréhender pleinement le roman contemporain, il est nécessaire de plonger dans les classiques qui ont façonné le paysage littéraire d'hier. Joseph Vebret nous offre une compilation soigneuse des plus grands auteurs du dix-neuvième siècle, dévoilant des œuvres emblématiques qui, bien que parfois méconnues du grand public, demeurent des piliers de la littérature.

Ce recueil va au-delà de la simple présentation d'écrivains illustres, il constitue une plongée immersive dans leur époque, éclairant leurs histoires personnelles et partageant des anecdotes captivantes. L'ensemble se présente comme une ode à la littérature, mêlant biographies et extraits choisis qui raviront aussi bien les passionnés que les néophytes.

L'écriture, bien que formelle et didactique, accomplit l'essentiel en informant de manière concise tout en capturant l'essence de l'inspiration et du dévouement de ces auteurs. À travers ces pages, un voyage s'ouvre, révélant un univers littéraire instructif et intrigant, souvent insoupçonné au premier abord.

Cet ouvrage se révèle ainsi comme une ressource précieuse à explorer à loisir, procurant le plaisir de plonger dans l'histoire du roman et de comprendre son évolution au fil des siècles. Une addition enrichissante à la bibliothèque de tout amateur de littérature.

"Spectaculaire épopée historique, "Ben-Hur" est avant tout le roman de la vengeance, de la rédemption et de la conversion. Une aventure dans la veine romantique, épique, historique, spectaculaire, parfois même légèrement érotique."

"Baudelaire, né trop jeune dans un siècle trop vieux, mène une vie à contre-courant des valeurs de l'époque. Dans sa conception, l'amour ne peut-être que tragique, coupable parce qu'il porte en lui le goût du péché, voire une promesse de damnation."